mardi 11 septembre 2018

Changement...

Bonjour. J'espère que vous allez bien et que vous avez passé un bel été. Pour moi, il a été très bon, il a été rythmé par la visite de mes enfants et petits-enfants, par la visite de cousins, d'amis, et puis j'ai passé du temps dans ma petite maison bleue, j'en reviens d'ailleurs.

Ce billet pour vous dire par contre que je ne reviendrai pas tout de suite sur mes blogs. Je suis actuellement dans une dynamique (et un désir) de changement. J'ai toujours eu beaucoup de mal dans ma vie à lâcher prise d'avec certaines choses, certaines habitudes, mais j'éprouve en ce moment un besoin de me délester, un besoin de faire du tri, de faire du vide, j'ai l'énergie et la motivation pour le faire, alors je veux en profiter. Je n'ai donc pas la tête en ce moment à publier de nouveaux billets. Je n'ai pas envie de m'éparpiller, chose que je fais trop souvent.

Je ne sais pas quand je reviendrai, je vous tiens au courant de toute façon. Et même si je ne laisse pas forcément un commentaire, je continue à venir vous lire, pas tous les jours, mais régulièrement. Je vous dis à bientôt. Prenez soin de vous.


dimanche 24 juin 2018

Pause estivale

Le moment de la pause estivale est arrivé (je fais beaucoup de pauses en ce moment, je sais...). Cette pause aura lieu un peu chez moi, un peu en Bretagne, et puis un peu ailleurs. Je vous donne donc rendez-vous en septembre. Passez un très bon été, et surtout, savourez chaque bel instant qui vous est offert, c'est cela qui rend heureux. A bientôt !

La Mer du Nord

mardi 19 juin 2018

LA NORVEGE

Voici quelques photos faites lors de mon voyage en Norvège. Je dis "quelques" car j'en ai fait beaucoup, beaucoup, mais je ne peux tout de même pas toutes les mettre ! :-)

Cliquez sur -> ​ Photos NORVEGE.

mercredi 13 juin 2018

Des nouvelles...

Me voici de retour après un périple de dix jours en Norvège, périple qui nous a emmenés jusqu'au Cap Nord. Là-bas, le soleil de minuit... Fantastique lumière, irréalité du moment, dépaysement total... La chance d'avoir pu me rendre là-bas et d'avoir pu profiter de ces merveilleux et inoubliables instants...

Le temps de trier quelques photos, de me remettre un peu de toutes ces émotions, et je reviens !


dimanche 20 mai 2018

Pause printanière

Hier après-midi, j'ai repiqué des fleurs dans des pots et dans mon massif. J'ai eu beaucoup de plaisir à le faire. En fin de journée, j'ai fait le tour de ma propriété. Je suis allée parler aux arbres, je les ai touchés. Et puis je suis allée voir les fleurs nouvellement plantées, et les autres aussi. Je les ai admirées. Et je me suis dit que tous les soirs, lorsque je le pourrai, je ferai le tour des arbres, des fleurs. Je me suis sentie si bien après...

Ce billet pour vous dire aussi que je vais à nouveau mettre mon blog en pause. Je ne serai pas bien loin, enfin pour l'instant. J'irai vous lire, mais durant quelques semaines je ne publierai pas. Envie de savourer, d'apprécier et de toucher ce qui m'entoure. Je vous dis donc à bientôt ! Portez-vous bien.

Ci-dessous, quelques photos de mes fleurs, de mes arbres...




dimanche 13 mai 2018

C'est une maison bleue... adossée à la colline...

Ma petite maison bleue... c'est ici que je suis partie quelques jours.


Je suis bien chez moi, j'ai la chance de vivre dans une belle et grande maison, d'avoir un grand terrain, un joli jardin, avec des arbres, des fleurs, et tout, et tout..., mais lorsque je vais dans ma petite maison bleue, je suis ailleurs, je vis dans un autre temps, un autre monde, je vis à un autre rythme. Cette petite maison est chargée en bonnes ondes, et bien que n'ayant pas tout le confort d'une maison moderne, elle est comme un nid douillet. Son histoire, certains d'entre vous la connaissent, mais je vais la redire pour ceux qui ne la connaissent pas, et je rajouterai queques anecdotes.

Cette petite maison, c'est une maison de famille dont nous avons hérité ma soeur et moi, à la mort de notre mère. Elle appartenait avant à une tante à ma mère, mes parents lui avaient achetée en viager. La maison de la tante Julia... Notre mère est née dans le petit village où elle se trouve, dans la ferme qui se trouve juste à quelques mètres derrière. Lorsque nous étions enfants, ma soeur, mon frère et moi, allions passer nos vacances avec nos parents dans cette petite maison trois semaines en juillet. Des vacances merveilleuses que tout enfant aimerait vivre. Il y avait mes cousins, et d'autres enfants en vacances également avec leurs parents. Nous étions une vingtaine de gamins, et quelle joyeuse bande nous faisions ! Il nous en fallait peu pour nous amuser.

La bande de gamins ! Vous me reconnaissez ? (petit clic sur la photo)

De plus, moi qui adore les animaux, j'étais aux anges ! J'allais garder les vaches avec mes cousins, j'avais mon bâton qui m'attendait d'une année sur l'autre. J'allais aider à faner aussi, on me prêtait un râteau et j'étais fière de pouvoir donner un coup de main. A l'époque, tout se faisait à la main, il n'y avait pas encore toutes ces machines qui font d'ailleurs gagner beaucoup de temps aux paysans. Et puis, comme j'avais très peu d'appétit, je restais trois semaines de plus chez mon oncle et ma tante, pour profiter du bon air et apprendre à manger de tout ! (sourire) Je profitais aussi largement de mes cousins. L'une de mes cousines avait, et a toujours d'ailleurs, le même âge que moi, nous nous entendions très bien. Que de fous-rire nous avons pu prendre toutes les deux, et ma tante Rose n'était pas en reste pour rire avec nous ! Quelle complicité et quelle bonne entente ! Avant de repartir à Lyon, à la rentrée, je faisais une caresse à chaque bête, je n'en omettais aucune, et il y avait de quoi faire, entre les vaches, les chèvres, les chiens, les chats ! Ce lieu était déjà le paradis pour moi. Lorsque j'arrivais chez moi, tout mon linge sentait bon la campagne et le foin... Quels bons souvenirs je garde de cette époque !


Moi, à 11 ans, avec la chienne Tosca.

Deux de mes cousins ont repris la ferme de leurs parents (et grands-parents) il y a déjà plusieurs années, un autre est berger, et un autre, en retraite, vit également là-bas. Je suis heureuse, lorsque je m'y rends, de les retrouver. Leurs soeurs, mes cousines, y viennent aussi régulièrement, ce qui me permet de les voir également. J'aime beaucoup toutes ces personnes, j'ai toujours eu de bonnes relations avec elles, et elles sont très importantes pour moi. Non seulement la petite maison bleue est comme un doux cocon, mais aussi tout ce qui l'entoure et ceux qui y vivent y contribuent largement. Je mesure vraiment la chance que j'ai à chaque fois que je me trouve là-bas. Oui, j'ai vraiment de la chance !

C'est une maison bleue... adossée à la colline... où il fait bon vivre... et que j'aime tant...(sourire)

vendredi 27 avril 2018

Concernant mon billet d'hier...

Ce soir, je repense au billet que j'ai posté hier. J'avais besoin de l'écrire, j'avais besoin d'exprimer ce ressenti, mais aujourd'hui je pense différemment. Non, je ne vais pas changer ma façon d'écrire, car c'est la mienne. Pourquoi cette remise en question, hier ? Parce que des fois je doute de moi, parce que des fois je doute de tout, et hier c'était le cas. Non, je vais continuer à écrire selon mes ressentis, selon mes émotions. D'ailleurs je ne sais pas faire autrement, et je n'ai pas envie de faire autrement. Je vais continuer ainsi, comme je le fais depuis toujours il me semble. Je ne vais pas changer la teneur de mes billets, ce ne serait pas moi. Les rires, il y en aura peut-être, mais je ne me forcerai pas à écrire des billets drôles. Ne croyez pas que je n'aime pas rire, au contraire j'adore rire ! Mais je n'ai pas envie d'écrire pour faire rire. Je laisse cela à ceux qui savent le faire. Non, moi j'écris essentiellement pour partager mes émotions, mes ressentis, pour vous parler de mon petit-fils Noé et de ses soucis de santé, pour vous parler également de mes autres petits-fils, de mes amies et de tout ce qui me tient à coeur. Ce serait aujourd'hui je n'aurais pas publié le billet d'hier, alors, oubliez-le... Merci. (sourire)

jeudi 26 avril 2018

Parler de choses joyeuses

Hier, en fin de journée, je me suis rendue à l'atelier d'écriture. J'ai eu un peu de mal avec les consignes et j'ai eu un brin (un gros brin...) de doute sur mon écriture. Les autres personnes apportent à leurs textes des descriptions, de l'humour, mes textes me paraissent bien fades à côté, bien vides, sans couleurs, ils manquent de vie, ils manquent d'ampleur*. Je sais qu'il ne faut en aucun cas que je me compare aux autres, mais n'empêche... Hier soir, donc, en rentrant chez moi, je me questionnais. Et puis je suis venue faire un tour sur mes blogs, et ensuite j'ai regardé les statistiques, je le fais régulièrement, et dans celles-ci, dans la partie Source du trafic et mots-clés de recherche, il n'y avait qu'une ligne, et dans cette ligne, il était écrit : "Parler de choses joyeuses". Alors j'ai vu là un signe, je dois, j'ai envie d'apprendre à écrire des choses joyeuses, des choses rigolotes, je suis trop sérieuse, je suis trop dans la retenue, j'ai envie d'apprendre à me laisser aller, à laisser aller mes mots, même s'ils sont désordonnés, maladroits, quelle importance ! J'aimerais vraiment y arriver. J'ai trop écrit par le passé sur des sujets douloureux, des deuils, des manques, etc. J'en avais sans doute besoin, cela m'a fait beaucoup de bien, mais maintenant j'ai envie d'autre chose... J'ai envie de vie, j'ai envie de rire(s) !

*Cela me rappelle une période où j'allais suivre des cours de dessin. J'avais une immense feuille devant moi, mais je n'en utilisais qu'une petite partie. La prof me disait d'apprendre à occuper toute la feuille, toute la place. Ce n'était pas évident pour moi. C'est un peu comparable, je trouve.

lundi 16 avril 2018

Et vous, que faites-vous ?

Lorsque vous avez des pensées parasites qui vous perturbent, lorsque vous êtes fortement contrarié(e)s par une situation, que faites-vous pour vous en débarrasser ?

Moi, j'ai plusieurs options (en vrac) :
- Je mets mes galoches, je prends la pioche, et je vais nettoyer mes massifs de fleurs.
- Je fais du rangement, du tri ou du ménage.
- Je vais marcher d'un bon pas en espérant trouver de quoi faire de belles photos.
- Je colorie des mandalas tout en écoutant de la belle musique.
- Je prends un livre passionnant et je m'y plonge dedans. En ce moment, je lis "La vie secrète des arbres" de Peter Wohlleben. Très intéressant.
- Je m'assois sur mon coussin de méditation, et je médite un moment, le temps que les pensées s'éloignent.
- Je mange du chocolat... un carré, deux carrés... la tablette entière !...
- Je me confie à une amie ou à ma soeur.
- Je pars faire des courses et m'achète un petit haut... Avec mon amie Gisèle, nous sommes des spécialistes pour aller nous acheter des petits hauts (Gisèle, si tu passes par là... :-))

A vous !

lundi 9 avril 2018

Mon blog a eu deux ans !

Je me suis aperçue ce matin que mon blog venait d'avoir deux ans, je l'ai créé le 3 avril 2016. Déjà ! Il me semble qu'il n'y a pas si longtemps que cela que je l'ai ouvert. Le temps passe si vite... Je l'aime bien ce petit coin de verdure, où je dépose mes pensées, mes mots, où vous venez me lire, où vous venez également déposer vos mots. Echange, partage, bienveillance, amitié... Merci à vous pour tout cela car c'est ce qui me donne envie de continuer ce blog les jours de doute. Merci pour votre fidélité et votre présence chaleureuse.

En cadeau, cette photo de moi alors que je n'avais que deux ans (et deux mois). Photo prise lors de vacances avec mes parents tout près de là où se trouve ma petite maison bleue. Eh oui, cette maison bleue, je la fréquente depuis que je suis toute petite, petite...


 
Photo faite par mon père. 
Vous pouvez cliquer dessus, vous verrez encore mieux ma petite mine renfrognée ! :-)

samedi 7 avril 2018

Le temps passé n'est plus...

Certaines blessures du passé ont besoin d'être exprimées, car elles nous empêchent parfois d'avancer, elles entretiennent en nous un sentiment de rancoeur, de colère, de tristesse. Pour cela il y a plusieurs outils à notre disposition. Pour certains, ce sera l'écriture, la peinture ou tout autre forme d'expression artistique. Pour d'autres, ce sera en parler à un thérapeute et se faire aider par cette personne. Quelle que soit la méthode, c'est très bien du moment que nous pouvons nous délester de tous ces mots (maux). Par contre, ensuite, et c'est juste mon avis, nous devrons lâcher prise d'avec ce passé. Le temps passé n'existe plus, et il n'est pas bon de le faire revivre en le ressassant indéfiniment, cela ne fait que l'entretenir dans le présent où il n'a plus sa place. Plus nous le ressasserons, plus il s'imprimera en nous, le cerveau est très doué pour cela, et s'il s'agit de moments douloureux, la douleur se ravivera à chaque fois. Le passé n'a pas sa place dans le présent. Le présent est ici et maintenant, le passé n'est plus. Les souvenirs qui s'y rattachent non plus. Je parle ici, je le dis plus haut, des événements du passé qui nous ont fait souffrir. Les beaux souvenirs, les beaux moments du passé, eux, peuvent venir nous rendre visite, ils ne nous feront pas de mal. Mais à condition de ne pas en abuser... car nous tomberions alors dans une éternelle rêverie et c'est le moment présent qui en souffrirait...

mercredi 4 avril 2018

Il y a des jours où l'on n'a pas envie de penser...

Il y a des jours où l'on n'a pas envie de penser. Pour cela, rien de tel que de faire du ménage, à condition de le faire en pleine conscience. Ce que j'ai fait aujourd'hui. J'ai passé l'aspirateur au rez-de-chaussée, à l'étage, j'ai dépoussiéré, j'ai lavé, j'ai rangé. Et puis j'ai fait de la couture aussi. Enfin, de la couture, c'est vite dit ! En, fait, j'ai confectionné un petit sac avec un cordon pour ranger les pièces du jeu de rummy. Je n'ai pas de machine à coudre, je ne couds que rarement, je l'ai donc fait tout à la main, surfilage, et coutures. Je m'étais mis une belle musique, et j'ai mis le temps qu'il fallait, c'est-à-dire un certain temps ! J'ai aimé le faire. C'était comme lorsque je colorie des mandalas, une forme de méditation, j'étais dans mon ouvrage, avec cette belle musique, j'étais dans le présent et les pensées n'avaient pas accès à ce moment. Ensuite je suis allée marcher une demi-heure. Durant la balade, j'ai pu admirer huit hérons cendrés dans un pré, quatre couples je suppose. J'ai pu voir dans les arbres leurs nids. Je n'avais pas mon appareil photos, j'ai donc pu les regarder tranquillement sans avoir le souci de faire de belles photos. Et en fin de journée, après une grosse averse, le soleil était de retour, et avec lui un magnifique arc-en-ciel. Il y a des jours où l'on n'a pas envie de penser...

mardi 3 avril 2018

Tristesse

Tu t'en es allée hier soir, je viens de l'apprendre...
La vie n'a pas été douce avec toi, tu as eu tant de problèmes de santé, dont trois cancers, mais tu t'en es toujours sortie et remise. L'avant-dernière fois que je t'ai vue, pour le jour de l'an, tu avais une vilaine bronchite, tu étais vraiment très fatiguée je me souviens. Et puis je t'ai revue fin janvier, lorsque tu es venue au théâtre avec ta soeur, et je t'ai trouvée en forme, souriante. J'ai été contente et rassurée de te voir ainsi. Mais hier soir, alors que tu étais tranquillement chez toi, sans doute en train de faire des mots fléchés ou peut-être résoudre une énigme, tu aimais bien résoudre des énigmes, la mort est venue te chercher.
Je n'oublierai jamais ton affection, ta gentillesse, ton écoute et ton épaule amie notamment lors de la mort de mon frère, tu m'avais beaucoup aidée cette nuit-là du 1er janvier 2010.
Mes pensées vont vers toi, et vers ta famille. Bonne route pour ce nouveau voyage.

samedi 24 mars 2018

Le sens...

Une citation que j'ai trouvée dans un livre lu ces derniers jours et que je relis tous les matins !


BON WEEK-END !

jeudi 22 mars 2018

Mes amies

Mes amies sont vraiment très différentes les unes des autres, elles ne se ressemblent pas, elles ne s'entendraient sans doute pas entre elles, mais moi j'apprécie chacune d'elles. J'ai des sujets de conversation souvent très différents selon que je me trouve avec l'une ou l'autre, mais j'éprouve le même plaisir à chaque instant partagé avec elles. Mes amies me sont chères, elles m'apportent énormément. Je me dis que j'ai beaucoup de chance de les avoir comme amies. Que serais-je sans elles ! Merci mes amies d'exister ! Merci mes amies d'être là ! ♥

dimanche 18 mars 2018

Lettre cornée, froissée, tachée...

Lorsque je vivais à Lyon, que j'étais une toute jeune femme, j'avais travaillé en tant que secrétaire dans une entreprise de travaux publics. Je tapais entre autres des lettres pour les chefs de chantier, le patron et aussi pour Monsieur Olivier, le chef comptable. Ce dernier m'apportait  régulièrement des lettres à rédiger et à taper. Je m'appliquais, j'ai toujours été consciencieuse dans mon travail, j'aime le travail propre et bien fait, et j'allais ensuite lui porter la lettre afin qu'il la signe. Une demi-heure après, il me la rapportait, signée, prête à être envoyée au client, mais... ô misère... la lettre était à chaque fois cornée, ou bien froissée, ou alors tachée... Et j'avais honte d'envoyer ainsi une telle lettre. Je n'étais pas la seule, ma collègue enrageait elle aussi de voir notre travail aussi mal traité, mais que dire, que faire ? Cela n'aurait de toute façon servi à rien. Et maintenant, lorsque quelqu'un feuillette un livre ou une revue et que je le vois corner ou froisser les pages en les tournant, je repense à Monsieur Olivier... j'enrage quelque part... et j'ai du mal à supporter et à ne rien dire... Je dis parfois... (sourire)

mercredi 14 mars 2018

Histoire d'entité...

Récemment, en lisant un billet sur le blog d'une amie, celui-ci m'a remémoré une histoire qui m'avait fortement perturbée. Je vous raconte, maintenant je peux...

Ce jour-là, il y a un an environ, je rejoins un groupe de méditation. C'est la première fois que je retrouve ce groupe, mais je connais deux ou trois personnes qui ont l'habitude de s'y rendre. La méditation se passe très bien, un moment très agréable, agrémenté de quelques bruits de clochettes et de bols, et aussi de mantras. A la fin, nous échangeons quelques mots. A ma droite, se tient J. Je le connais un peu, l'ayant croisé à différentes manifestations. Je sais qu'il nettoie les maisons des mauvaises énergies et qu'il soigne aussi certaines personnes. Donc, à la fin de la méditation, nous discutons et j'évoque notamment mes problèmes de vertiges. Il sort alors un pendule qu'il dirige vers moi, et me dit qu'il ressent un froid glacial émanant de ma personne. Il me demande de le suivre dans la pièce à côté. Et là, sans ménagement, et brutalement, il me dit que je suis habitée par une entité, qu'il la voit, là, juste à côté de moi, que cette entité prend une partie de mon identité, que je suis coupée en deux, etc. Il me parle de sorcellerie, d'envoûtement. Mais les autres nous rejoignent et notre échange cesse. Nous rejoignons tous nos voitures et je prends la route pour rentrer chez moi. J'étais très perturbée et je me demande comment j'ai fait ce jour-là pour ne pas avoir d'accident.

Pendant une dizaine de jours, je ne me sens pas bien, je dors mal, je repense à ce qu'il m'a dit, je me pose des questions: et s'il avait raison ? et si c'était vrai ? Et puis un matin, je dis : STOP ! Si vraiment j'ai une entité malfaisante en moi, je la sentirais, et les personnes qui m'entourent la sentiraient elles aussi. Je suis en bonne santé, je vais bien, les gens ont du plaisir à être avec moi, ils se sentent bien en ma compagnie. Et je me dis que cette entité qu'il a perçue, si entité il y a, est sûrement une entité bienveillante, et peut-être même qu'elle est un ange gardien, un ange protecteur. Et du coup, je me sens beaucoup mieux, je me sens apaisée ! Comme quoi, la puissance des pensées ! Et celle des autres aussi ! N'importe qui peut nous faire douter, nous faire chavirer, alors, prudence ! Ne nous laissons pas impressionner par les pensées et les mots des autres, même s'ils ne le font pas dans un but malveillant. L'important est de se fier à ses ressentis et de les écouter.

Note : Je ne sais pas si les entités existent ou non, mais je sais qu'en chacun de nous existent une part d'ombre et une part de lumière, c'est sans doute cette part d'ombre que cet homme a perçu ce jour-là et a pris pour une entité. Enfin, je n'en sais rien, mais c'est une histoire ancienne, et elle ne m'affecte plus... ou presque plus...

samedi 10 mars 2018

Le battement de mon coeur...

Le soir, lorsque je m'allonge pour dormir et que je pose ma tête sur l'oreiller, j'aime entendre le battement de mon coeur dans mon oreille. Ce bruit me calme et m'apaise. Il m'aide à m'endormir lorsque, certains soirs, j'ai du mal à trouver le sommeil. Récemment, alors que je le racontais à des amis, certains me dirent que, contrairement à moi, le fait d'entendre le battement de leur coeur lorsqu'ils sont allongés, les angoisse. Le bébé n'est-t-il pas bercé par ce bruit lorsqu'il est encore dans le ventre de sa maman ? J'ai sans doute vécu des moments paisibles et heureux à cette époque de ma vie, pour que ce battement me calme ainsi et me soit si doux.
Et vous ?

Peinture de Henri Matisse

mercredi 28 février 2018

La lecture et les enfants

Suite au billet A propos de la lecture que j'ai posté ici dernièrement​ , ​ Célestine m'avait parlé d'un livre de Daniel Pennac : « Comme un roman ». Elle m'avait donné très envie de le lire. Voilà qui est chose faite. Et j'ai adoré ce livre !

« Il faut lire ! Il faut lire ! », voilà comment on donne la non-envie de lire aux enfants et aux adolescents.

Lorsque nos enfants sont petits, avec quel plaisir et quel délice nous aimons leur lire des histoires ! et avec quel plaisir et quel délice ils aiment nous écouter ! Et ils en redemandent : encore, encore ! dis, tu me lis une autre histoire... Tu sais, celle avec la princesse et le dragon. Ou bien celle des trois petits cochons et du vilain méchant loup. Ou bien encore celle de ce petit cochon qui va fêter son anniversaire, et dont la maman a rempli le frigo de tout plein de bonnes choses. Mais il a tellement bon coeur, ce petit cochon, qu'il donne toutes ces bonnes choses à des animaux qui passent chez lui et qui n'ont rien à manger. Si bien qu'il ne reste plus rien pour faire le gâteau, la pâte à crêpes, et tout le reste. Et le petit cochon est bien triste quand sa maman lui dit qu'il n'y aura pas de fête d'anniversaire, car il n'y a plus rien pour préparer le repas du goûter. Mais je vous rassure, l'histoire se termine bien... car les animaux qu'il a aidés, vont lui réserver une belle surprise. En fait, j'adore cette histoire. Il faut dire que le livre date de mon enfance, que mes parents me l'ont lu, que j'ai lu cette histoire à mes fils et que je la lis maintenant à mes petits-fils.
Donc, je parlais du plaisir partagé de lire des histoires à nos petits. Mais, car il y a un mais, lorsque ces chers petits commencent à savoir lire, soudain nous leur disons qu'ils sont maintenant capables de lire tout seuls et qu'ils n'ont plus besoin de nous. Nous leur retirons ce moment tant privilégié qu'ils adoraient. Les voilà bien embêtés, ils maîtrisent à peine la lecture, comment pourraient-ils apprécier de lire cette histoire qui devient en somme un exercice de lecture ? Où est le doux moment de plaisir passé avec le papa ou la maman ? Il n'existe plus. L'histoire n'a plus le même goût, plus de goût du tout même. Alors ils lisent tout de même, il le faut bien, mais le coeur n'y est plus.
Et puis, plus tard, au collège, on leur impose de lire des romans de 300 ou 400 pages. Quelle corvée ! Quel ennui ! Et puis en plus, il faut en faire un résumé, il faut disséquer le texte, il faut répondre à des questions ! Où est le plaisir de lire dans ces conditions ? Pourtant, il suffit parfois pour leur redonner le goût de la lecture qu'un professeur, au lieu de leur imposer cette corvée, leur fasse tout simplement la lecture d'un roman à voix haute. Alors là, la lecture perd son côté obligatoire et retrouve son côté magique. Ils ne sont plus tout seuls devant leur livre de 400 pages, mais ils sont avec ce professeur qui leur lit une histoire. Et ils échangent, et ils partagent avec lui l'histoire de ce roman, roman qui leur paraissait si rébarbatif à lire, et qui, présenté ainsi, les questionne, les interroge, les captive, ils veulent savoir la suite, et parfois certains se procurent même le livre pour connaître la suite et la fin plus rapidement ! Ils découvrent enfin le plaisir de lire.

Enfin, pour en savoir plus, car ce n'est qu'un résumé, lisez ce petit livre de Daniel Pennac, il est génial ! :-)

dimanche 25 février 2018

Conférence

Et voilà, tout mon petit monde est reparti, les vacances sont finies ! Ou bien, elles commencent... :-)

Hier soir, je me suis rendue à une conférence de Michel Guénier, c'est la deuxième fois que je me rends à l'une de ses conférences. Hier soir, donc, il a abordé les thèmes suivants :

- Comment éviter l'usure et la destruction d'une relation sentimentale
- La manipulation et ses effets négatifs
- La dépendance affective (les dépendants affectifs sont des proies idéales pour les manipulateurs*).
Pourquoi et comment devient-on dépendant affectivement ?
Tout vient-il de l'enfance ? Oui, mais !...
L'attachement à celui ou celle qui nous fait souffrir.
Comment en sortir.

Conférence très intéressante, même si je connaissais certaines réponses. A force de lire des livres de psychologie et de développement personnel, je commence à en connaître un rayon ! :-)
Mais il est toujours utile d'avoir des piqures de rappel, car nous oublions trop parfois et recommençons les mêmes erreurs.

Si vous voulez visionner des conférences de Michel Guénier, je vous donne un lien où se trouvent cinq de ses vidéos -> ​ Michel Guénier.


* J'ai lu sur la revue Inexploré n° 37 que le surefficient était également une proie idéale pour le manipulateur. L'hyperesthésie de l'un va avec l'envahissement sensoriel opéré par l'autre, tout comme le besoin maladif de comprendre de l'un va avec le refus d'expliquer (tout aussi maladif) de l'autre...

lundi 12 février 2018

mercredi 7 février 2018

La force de la non-violence

J'ai déjà abordé plusieurs fois le thème de la colère, mais je me pose encore la question de savoir si se mettre en colère contre une personne qui a abusé de notre naïveté, qui a profité de nous, qui nous a menti, est une très bonne chose, je ne pense pas. Je parle ici d'événements sans gravité, mais qui nous ont toutefois contrariés et fortement déçus. Je pense que prendre de la distance d'avec cette personne est la meilleure des attitudes à avoir. Mais il y en a sûrement d'autres. Hier soir, et c'est ce qui m'a donné envie d'écrire ce billet, j'ai lu un article de Matthieu Ricard paru dans la revue "Cerveau & Psycho" du mois de janvier : "Libérez votre altruisme" (dossier : "La force de la non-violence" p.48). Il dit : "Il me semble qu'adopter systématiquement une attitude bienveillante, ce qui n'implique nullement de la faiblesse ou de la complaisance et n'exclut pas la fermeté, est la manière la plus constructive de gérer un conflit. Dans le meilleur des cas, la personne en face de vous finira par changer d'attitude ; et si ce n'est pas le cas, vous ne serez pas vous-même tombé dans le piège de l'animosité et vous aurez préservé votre intégrité. Cela évite en tout cas l'escalade de la violence." Je pense que Matthieu Ricard a raison. De toute façon, je ne sais (toujours) pas me mettre en colère, alors je préfère envoyer aux personnes qui m'ont contrariée ou déçue de la lumière et de l'amour, car si elles agissent ainsi, je me dis que c'est qu'elles en ont certainement besoin, qu'elles en manquent. Et moi, ainsi, je ne me ferai pas du mal, je n'aurai pas d'ondes négatives en moi, car la colère que l'on a en nous, c'est bien connu, est avant tout une violence que l'on s'administre avant tout à soi-même. Mais bon, ceci est mon point de vue, et chacun a le sien tout aussi valable et respectable.

- Et, si l'on y croit, pourquoi pas pratiquer la méthode​ Ho’oponopono ?

lundi 5 février 2018

A propos de la lecture...

Je connais certaines personnes qui, avant de commencer à lire un livre, vont d'abord le feuilleter, lire quelques passages, voire même lire la fin ! Ces mêmes personnes tournent les pages d'une revue, cherchant l'article intéressant, et du coup lisent les articles dans le désordre. Je n'ai rien contre elles, au contraire, quelque part je les envie !
Parce que moi, lorsque je lis un livre, je commence au début, et je lis chapitre par chapitre, sans essayer de regarder plus loin (à moins qu'il ne s'agisse d'un livre de poèmes). Quand je lis une revue (choisie par mes soins), je lis article par article, dans l'ordre. Et je lis quasiment la totalité des articles*, même si certains me plaisent moins (je suis un peu bizarre, non ?). Pourtant, je suis loin d'être stricte et ordonnée, il n'y a qu'à regarder l'état de mon bureau (non, je ne vous mettrai pas de photo !...).
Parce que j'en discute régulièrement avec Agnès, et principalement en ce qui concerne la lecture des revues, j'essaie d'"apprendre" à lire les articles dans le désordre, à lire en priorité les articles qui me parlent le plus, ce qui est tout de même plus logique, non ? Mais, comme je le dis souvent, chacun sa logique après tout, nous sommes tous différents. Mais n'empêche, il n'est pas interdit de changer...
Et vous, comment lisez-vous ?...

*Sauf si je regarde une revue dans une salle d'attente, là, je m'autorise à la feuilleter et à lire juste les articles qui m'intéressent. Faut dire qu'en principe, dans les salles d'attente, il n'y a pas vraiment le choix : "Paris Match", "Voici", et autres magazines people, ce n'est pas vraiment ma tasse de thé...

« La lectrice », Madeleine Lesage

dimanche 4 février 2018

La gourmandise

Un petit billet léger sur la gourmandise, pour un dimanche soir, cela vous ira ? car, comme vous le savez, je suis très gourmande !
Tout d'abord, la gourmandise, c'est quoi pour vous ? C'est se précipiter ? Ou bien c'est prendre son temps ?
Mais au fait, êtes-vous gourmand(e)s ? Et si oui, de quoi ? Car la gourmandise englobe tout ce que nous trouvons bon. Pour certains, ce sera manger un bon saucisson, une bonne terrine, ou autre chose, et pour d'autres (moi !!!) ce sera de manger un bon gâteau !
En parlant de gâteau, et cela rejoint les deux premières questions de ce billet, je suis toujours étonnée de voir des personnes (soi-disant gourmandes) manger leur gâteau tout en discutant et l'engloutir en un rien de temps. Lorsque je connais la personne, je lui demande alors : - Dis-moi, as-tu trouvé le goût du gâteau ? - L'as-tu apprécié ? Car moi, lorsque je mange un gâteau, je prends mon temps, je le déguste, je le savoure, je fais durer ce moment. Et comme je n'ai pas envie que cela se termine, je ralentis encore... encore... c'est trop dur lorsqu'il ne reste plus que des miettes de gâteau dans l'assiette... (sourire). J'exagère évidemment, mais c'est pour que vous compreniez à quel point je suis gourmande ! :-)


jeudi 1 février 2018

La danse du pas, la danse du je ne sais pas...

C'est amusant comme des personnes peuvent parfois nous percevoir différemment de ce que nous sommes réellement. Il y a quelques semaines, j'avais laissé un commentaire chez ​ Célestine où je lui disais entre autres que j'étais la reine de l'indécision. Elle m'avait répondu alors qu'elle me pensait au contraire quelqu'un d'affirmée dans ses choix. Comme quoi... Non, Célestine, j'aurais aimé pourtant, mais je ne suis pas affirmée dans mes choix, j'hésite souvent avant de prendre une décision et je dois dire que cela me prend beaucoup d'énergie. Mais depuis quelques temps, et parce que cette indécision m'agace, une fois que j'ai fait mon choix, j'apprends à ne plus revenir dessus. J'arrête de me dire ensuite : est-ce que j'ai bien fait ?  ne vais-je pas le regretter ? Non, je me dis : tu as pris cette décision, et quelle qu'elle soit, ne reviens pas dessus, n'y pense plus ! Et cela m'aide à passer à autre chose. Mais ce n'est pas si évident, malgré tout, indécise je suis, indécise je resterai, c'est ainsi... Il y a quelques années, je m'étais d'ailleurs amusée à écrire un petit poème à ce sujet sur mon blog "Des mots pour le dire". Quelques mots qui résument bien un sujet qui m'agaçait déjà bien à l'époque...


La danse du pas 

Un pas en avant
un pas en arrière
un pas sur place

Un pas oui

un pas non
un pas ne sait pas

Un pas en avant
un pas en arrière
un pas sur place

Un pas avance
un pas recule
un pas hésite

Un pas en avant 
un pas en arrière
un pas sur place

Ainsi se danse 
la danse du pas
la danse du je ne sais pas...

F.A.
23 mai 2009

jeudi 18 janvier 2018

Atelier d'écriture

En octobre 2009, je m'étais inscrite à un atelier d'écriture, j'y suis allée deux ou trois fois, et puis la mort de mon frère, fin novembre de la même année, m'ôta l'envie de continuer, je n'y voyais plus aucun sens, aucun intérêt. Trois ans plus tard, j'ai refait un essai. J'y suis allée une fois, deux fois peut-être, et j'ai laissé tomber à nouveau, je ne me sentais pas à ma place, je ne savais pas quoi écrire. Bref, ce n'était pas pour moi. Et puis la semaine dernière, j'ai lu qu'un nouvel atelier se mettait en place avec un autre animateur. Je n'avais rien contre celle qui animait les ateliers où je m'étais rendue, mais ce n'était sans doute pas le bon moment. Donc, hier soir, je me suis rendue à ce nouvel atelier et ma foi, j'ai aimé, je me suis sentie bien, à ma place. L'animateur nous a proposé une série d'exercices, et j'ai aimé les faire. Je suis arrivée à me laisser aller et à écrire sans stress, sans me poser la question de savoir si ce que j'écrivais était bien ou pas, sans avoir peur de ne pas être à la hauteur. Je me suis donc inscrite pour les ateliers suivants. Par contre, ils n'auront lieu qu'une fois par mois, c'est peu, c'est dommage. Mais bon, je peux travailler les exercices chez moi aussi. Autrement, par rapport à cette envie de continuer que j'ai cette fois, je pense qu'elle est due aussi aux mots que cet animateur a employés pour présenter l'atelier, des mots que j'avais besoin d'entendre pour me sentir bien et ne pas avoir envie de prendre la poudre d'escampette. Il se peut aussi que depuis 2012 j'ai évolué, et que la page blanche ne me fasse plus peur... et aussi que j'ai acquis de la confiance en moi. Il était temps !... (sourire)

lundi 15 janvier 2018

Du tri, tri, tri !

Du tri, tri, tri ! Il faut que je m'allège ! Tous ces vêtements et tous ces objets accumulés et inutiles qui encombrent mes placards, mes armoires, tous ces papiers qui ne me servent plus à rien, etc, etc. Il me semble que lorsque j'aurai effectué un grand tri (mon dieu, qu'il est dur de s'y mettre...), que j'aurai effectué un grand nettoyage, je me sentirai plus légère. Il faut savoir se délester parfois pour permettre à de nouveaux horizons de se profiler. Pourquoi se laisse-t-on envahir ainsi ? Pourquoi est-ce que je me laisse envahir ainsi ? Lorsque je regarde autour de moi, je vois tout plein d'objets sans vie, des objets qui n'ont, pour certains, pas changé de place depuis des années ? des objets tout pleins de poussière. Qu'est-ce que cela m'apporte de les conserver ? C'est comme les relations, pourquoi en conservons-nous certaines alors qu'elles sont devenues poussiéreuses elles aussi, et vides, entièrement vides de sens ? Mais bon, cela, c'est un autre sujet... le sujet d'un autre billet, peut-être.

Bon, allez, qu'est-ce que je fais encore là, devant mon ordinateur ? Je file vider mes armoires et mes placards ! Et je suis sûre que je vais ensuite me sentir légère, légère, et tellement mieux !... :-)

vendredi 12 janvier 2018

Lorsque tout va bien, on ne se rend pas compte de la chance qu'on a...

J'ai terminé l'année 2017 et ai commencé l'année 2018 avec une grosse grippe ! Cela faisait longtemps que cela ne m'était pas arrivé. Je me vantais l'année passée d'être passée à travers alors que des gens grippés avaient circulé à la maison. Comme quoi...
Chaque année, la semaine du jour de l'an, nous partons avec des amis une semaine en gîte, pour, entre autres, faire des randonnées de deux à trois heures chaque après-midi, et aussi passer le réveillon ensemble. Cette fois, les randonnées n'ont pas été pour moi, je suis restée couchée une bonne partie du séjour, et les deux seuls jours qui restaient, j'étais bien trop fatiguée pour aller marcher. Je dois dire que cela m'a pas mal contrariée, pas seulement parce que j'étais privée de randonnées, mais parce que j'étais dans une forme éblouissante avant de choper ce sale virus et que je me retrouve dans une forme moyenne. Cette semaine, je me suis accordée une semaine de convalescence, je reprendrai mes activités et le mouvement qui va avec, la semaine prochaine.
Durant cette période de grippe, j'ai eu le temps de réfléchir, et je me suis rendue compte que lorsqu'on est malade, il n'est pas évident d'avoir des pensées positives. Lorsqu'on a la santé, on ne se rend pas compte de la chance qu'on a, "avec elle on a les racines pour tout faire" (dit par A.). J'ai eu la grippe mais elle est finie, je suis encore fatiguée mais je suis guérie. Je pense aux personnes qui ont une maladie grave et au courage qu'il leur faut pour ne pas sombrer dans le découragement, je pense à l'énergie qu'il leur faut pour lutter, pour ne pas baisser les bras. Je connais actuellement plusieurs personnes dans ce cas-là, et je pense très fort à elles.

samedi 6 janvier 2018

Bonne année 2018 !

Me voici enfin de retour pour vous souhaiter une très bonne année 2018. Que celle-ci vous apporte tout plein de belles choses, de beaux moments partagés, de la joie, du bonheur et aussi, car c'est important, la santé ! (je sors tout juste d'une grippe carabinée...)
Bises à vous toutes et tous !