dimanche 26 février 2017

Encore une courte pause...

car il y aura deux petits bonshommes à la maison pendant quelques jours... :-)

Moment d'échange entre mon petit-fils Noé et le cheval noir...

samedi 25 février 2017

Et je me suis réveillée...

J'ai envie de vous raconter l'un des rêves que j'ai faits la nuit dernière. Je dis l'un des rêves car j'ai beaucoup rêvé, mais c'est celui-ci qui m'a le plus marquée et dont je me souviens le mieux. J'étais au cinéma et je regardais un film qui datait déjà de plusieurs années, il y avait une manifestation dans un village, il y avait beaucoup de monde, des marchands, des forains, et des touristes qui circulaient. Et quelles ne furent pas ma surprise et mon émotion lorsque je vis mon frère et sa femme qui déambulaient au milieu des stands. Mon frère qui était mort depuis sept ans se trouvait là, dans ce film. Alors, et comme par magie, mais c'était un rêve, je traversai l'écran et je me retrouvai de l'autre côté, auprès de mon frère. Trop heureuse de le voir, je le suivais de partout, pour profiter de sa présence au maximum. Je savais qu'il allait bientôt mourir, mais lui ne le savait pas. Je ne lui en parlai pas, je ne voulais pas gâcher ce moment. Et puis, lui et sa femme voulurent aller voir une exposition dans une maison un peu plus loin. Je ne sais pas ce qui m'a distraite un court instant mais je les perdis de vue, et je ne sus dans quel bâtiment ils étaient entrés. Alors je m'assis sur un banc, et je les attendis. Un moment après, si tant soit peu qu'il y ait une notion de temps dans les rêves, je vis ma belle-soeur sortir de la maison, mais elle était toute seule, il n'y avait plus mon frère...
Et je me suis réveillée...

vendredi 24 février 2017

Les émotions, c'est la vie qui est en nous !

Ce qui me rassure maintenant, car à une époque ce n'était pas le cas, c'est que je sais que si je traverse une période difficile, tristounette ou contrariante, je sais aussi que cela ne durera pas dans le temps, et qu'un beau matin, en me réveillant, je me sentirai mieux, que les pensées qui m'embrumaient l'esprit et le fatiguaient, se seront évanouies, le moral et la bonne humeur seront de retour. Nous ne pouvons pas toujours rester au creux de la vague, à un moment donné nous sommes obligés de rebondir. Il ne faut pas oublier que nous sommes des êtres d’émotion. La peur, la colère, la tristesse, le chagrin, la joie, nous accompagnent tout au long de notre vie. Nous sommes des êtres humains, et finalement je plains les personnes qui sont coupées de leurs émotions. J'en parle en connaissance de cause car  moi-même, à une époque, alors que j'étais jeune fille et que je venais de perdre mon père, pendant un certain temps je l'ai été, j'étais devenue indifférente à ce qui se passait, je n'éprouvais rien, sans doute pour ne pas souffrir, pour me protéger. Heureusement, j'ai rencontré des personnes, les bonnes personnes, qui m'ont aidée à me débarrasser de cette carapace que je m'étais forgée. Et si on me proposait de l'endosser à nouveau cette carapace, je ne la voudrais pour rien au monde. Dès lors que l'on a appris à ressentir, souffrir certes, mais aimer aussi, rire, vibrer, on n'a plus envie d'être coupé de ses émotions car cela veut dire que la vie est en nous !

mercredi 22 février 2017

Méfiance, confiance et mensonges

Etes-vous de nature méfiante ou plutôt de nature confiante ? Moi, je suis de nature confiante, j'ai tendance à croire ce que me disent les gens. Mais je me demande parfois si j'ai raison de les croire, il y a des choses qui me paraissent quelquefois tellement invraisemblables dans leurs récits. Je me dis que je suis sans doute considérée comme naïve, crédule, par certains et tant pis si les gens me ressentent ainsi, je n'ai pas envie de devenir méfiante par leur faute*. De toute façon, si j'ai un doute sur ce que me dit la personne, car j'ai parfois de gros doutes, je ne dis rien et je fais semblant de croire, l'important pour moi étant de ne pas être dupe. Si la personne a envie de mentir, ce n'est pas mon problème, je ne vais pas enquêter, qu'elle se débrouille avec ses mensonges. De toute façon, les gens qui mentent ne veulent bien souvent pas reconnaître qu'ils mentent, et insister pour qu'ils le reconnaissent serait une pure perte d'énergie. Je fais bien sûr allusion à des personnes avec lesquelles je n'ai pas de relations proches, je ne supporterais pas que les gens qui m'entourent me racontent des bobards.

* Il y a quelques années, j'avais échangé plusieurs mois avec une jeune femme qui tenait elle-même un blog, nous étions devenues très amies, j'avais beaucoup d'affection pour elle, car elle avait (soi disant) de gros soucis de santé, et autres. Lorsque je me suis rendue compte que tout ce qu'elle m'avait dit était un tissu de mensonges, j'en avais été fortement peinée. Mais cette histoire, déjà ancienne, ne me fait pas voir des menteurs de partout, non, et c'est tant mieux ! :-)

jeudi 16 février 2017

Petite pause

Je mets mon blog en pause pendant quelques jours, mes deux fils et leurs petites familles respectives venant passer quelques jours à la maison. Nous allons, entre autres, fêter les six ans du coissou de la famille. Vous savez ce que signifie le coissou (j'aime bien ce mot) ? C'est le dernier né de la famille. Et en l'occurrence, ici, le dernier né de la famille est le plus jeune de mes quatre petits-fils. (sourire)
A bientôt !

Une pensée pour lui, pour elle

Nous ne pouvons pas empêcher les personnes que l'on aime de souffrir car leur peine leur appartient, mais nous pouvons les aider par notre présence et notre affection. Je pense tout particulièrement aujourd'hui à une personne très proche de moi qui vient de perdre un ami de longue date. Et je ressens une profonde empathie pour elle, je sais l'importance qu'il avait dans son coeur et l'amitié qui les unissait. Je suis moi-même touchée par sa disparition car je le connaissais un peu. Il était professeur de qi gong et j'avais assisté à certains de ses cours. Je l'avais croisé à d'autres occasions également. Il était très proche des gens, très humain et très chaleureux. Une pensée pour lui, pour elle, ainsi que pour tous les gens qui le connaissaient et qui l'aimaient.

mardi 14 février 2017

La différence d'âge en amitié

La plupart du temps, nos ami(e)s ont sensiblement le même âge que nous. Mais pourtant des relations d'amitié peuvent aussi se créer avec des personnes plus jeunes (ou à l'inverse plus âgées), et cette différence d'âge ne se ressent pas forcément. C'est avant tout un échange, un partage et que l'on ait dix ou quinze ans de plus ou de moins que l'autre personne, quelle importance ? Je pense que dans l'amitié, la différence d'âge n'est pas un problème. La plupart de mes amies ont le même âge que moi, à quelques années près, mais cela ne m'empêche d'avoir aussi des relations amicales avec des personnes ayant dix ou quinze ans de moins que moi, et cette différence d'âge n'est en aucun cas gênant, nous n'y pensons d'ailleurs même pas. J'ai envie de dire que l'amitié est avant tout un échange d'âme à âme. Et les âmes, on le sait bien, n'ont pas d'âge...

dimanche 12 février 2017

Merci pour votre foldinguerie ! :-)

Je vous remercie, vous qui êtes frappés de "foldinguerie" autant que moi, d'avoir laissé un petit mot sur mon billet précédent, c'est rassurant de ne pas se sentir seule. Je ne pensais pas que nous étions aussi nombreux à en souffrir (sourire). Donc, nous sommes tous Humains, et je dois dire que c'est plutôt réjouissant comme constatation ! Je ne sais pas si le mot "foldingue" se met au féminin ou pas, cela dépend des sources en fait. Mais bon, pourquoi pas ? Tout comme le mot "foldinguerie" n'existe sans doute pas, mais nous pouvons bien inventer quelques mots, ce n'est pas très grave en fait. Si ? :-)

Sinon, parfois, lorsque je rédige un billet et qu'il n'est encore qu'au stade de brouillon, je me demande si je vais le publier ou non. Je me dis que je vais peut-être passer pour une folledingue justement, ou bien pour une illuminée, ou bien pour une... quel mot pourrais-je mettre pour évoquer celle qui se prend la tête régulièrement pour des questions existentielles ou relationnelles ? Vous avez un mot, vous ? Enfin bref, vous comprenez ce que je veux dire. Donc, je trouve qu'il est dommage de penser à la place des autres, car nous sommes peut-être uniques mais nous rencontrons toujours des personnes qui ont les mêmes questionnements que nous, les mêmes "illuminations" que nous. Nous ne devrions donc pas avoir peur de déposer nos mots, quels qu'ils soient, car ils résonnent toujours en certains d'entre nous. Et s'ils ne résonnent pas, les gens ne s'arrêtent pas et poursuivent leur chemin. Ce n'est pas très grave non plus, finalement ?... :-)

Je ne sais plus qui, une fois, m'avait dit que je me posais sans arrêt des questions et des questions. Et comme je le constate, et vous aussi, je continue ! Bah, il vaut mieux passer du temps à se poser des questions, plutôt que de passer du temps à dire du mal des autres, non ? :-)

jeudi 9 février 2017

Un peu folledingue...

C'est curieux comme l'humeur peut changer rapidement. En tous cas, la mienne. Il m'arrive d'être agacée par une situation, perturbée, épuisée à force d'y penser et de ressasser le pourquoi et le comment. Et puis, du jour au lendemain, sans que rien n'ait changé, je souris en y repensant, je ris même, je vois cette situation sous un autre angle, un angle beaucoup plus arrondi et sympa, je ris d'avoir passé tant de temps à me prendre la tête avec, car il n'y avait vraiment pas de quoi. Et je me dis que parfois... je suis un peu folledingue... (sourire)

Rassurez-moi, cela vous arrive parfois à vous aussi ?... :-)

mardi 7 février 2017

Prendre soin de soi

Prendre soin de soi, c'est aussi bien prendre soin de son corps que de son esprit. C'est-à-dire virer tout ce qui est polluant, et pour l'un, et pour l'autre.
J'ai entamé depuis quelques jours une cure de jus de fruits et de légumes, et j'ai pris la ferme résolution d'arrêter de manger n'importe quoi, à toute heure de la journée. J'ai décidé aussi de n'avoir des relations qu'avec des personnes bienveillantes et aimantes. Tout un programme, n'est-ce pas ? (sourire)

Sur ce, je pars à mon cours de qi gong ! Belle journée à vous. A plus tard !

lundi 6 février 2017

Marie aux doigts de fée et la bienveillance

Ce matin, je suis allée à une séance d'ostéopathie. J'en avais bien besoin et la séance a donc été bénéfique.

Il y a quelques années, j'allais chez une ostéopathe aux doigts de fée. Elle m'effleurait le corps du bout des doigts, me manipulait avec infiniment de douceur, ses gestes ressemblaient à des caresses. A la fin de la séance, je ne sais par quelle magie, je ressortais de son cabinet, toute neuve et réparée. Et puis, lorsqu'elle eut l'âge de la retraite, elle a regagné sa Bretagne natale, et je dois dire que je la regrette beaucoup, et je ne pense pas être la seule. Bien sûr qu'il y a d'autres ostéopathes très bien, entre autres celle chez qui je vais actuellement, mais il n'y a rien de comparable avec les doigts de fée de Marie, elle s'appelait Marie. Sa voix était tout comme ses gestes, très douce. Elle savait écouter, elle était attentive, entièrement présente et disponible durant tout le temps que durait le soin. Les petits soucis de santé que je traîne actuellement et qui persistent, je suis certaine qu'avec elle, ils auraient disparu depuis longtemps. Il y a des personnes qui ont une âme tellement bienveillante que leurs soins s'en ressentent instantanément. La bienveillance, quel joli mot et comme je l'aime.

« Ne nous lassons pas de jeter sur notre route des semences de bienveillance et de sympathie. Sans doute il en périra beaucoup, mais, s'il en est une seule qui lève, elle embaumera notre route et réjouira nos yeux. » (Sophie Swetchine)

dimanche 5 février 2017

Une date particulière

Ce n'est pas évident d'être née le jour de la date anniversaire de la mort de sa mère. C'est pourtant le cas pour ma soeur aujourd'hui, elle est née un 5 février. Et il y a quinze ans, le 5 février 2002, elle et moi étions auprès de notre mère, nous l'accompagnions dans les derniers instants de sa vie. Quinze ans déjà... Il me semble que c'était hier...

Une douce pensée pour Simone, ma mère, et un bon anniversaire à Monique, ma soeur.

jeudi 2 février 2017

Passons vite à autre chose !

Parfois, dans notre vie personnelle, nous nous prenons la tête, nous passons de l'énergie à chercher à comprendre certaines choses, certaines situations, certains comportements, etc., mais est-ce que cela en vaut vraiment la peine ? Est-ce que cela fera vraiment avancer le Schmilblick* ? Est-ce vraiment la bonne attitude à avoir ? De toute façon, à un moment donné, si nous arrivons à mettre nos interrogations de côté, et nous y arriverons, tout cela aura perdu de son importance, et nous n'y penserons même plus, ce sera passé aux oubliettes. Il y a tellement de choses plus belles les unes que les autres à faire, tellement de belles et vraies relations à entretenir, à nourrir. Pourquoi se focaliser ou donner tant d'importance à des choses négatives, des tracas, des déceptions, qui, de toute façon, ne changeront pas mieux même si nous y pensons sans arrêt. Et puis si nous y pensons sans arrêt, cela deviendra une obsession et une obsession, ce n'est pas génial, non ? Il n'y a rien de pire comme bouffeuse d'énergie. Laissons les choses que nous ne comprenons pas, lâchons prise, et passons vite à autre chose !

*Faire avancer le Schmilblick : ​ Explication et source de l'expression.