J'avais découvert Thich Nhat Hanh en 2011, une année forte en émotions.
Fin mai 2011, mon petit-fils Noé avait son accident de santé (rupture d'anévrisme). Un grand bouleversement dans notre vie et surtout dans celle de ses parents et de son petit frère.
Le 5 septembre 2011, je passais mon premier degré reiki avec Isabelle, maître de Reiki, je tenais à ce que ce soit elle qui m'initie. Grâce à cette pratique, je voulais pouvoir aider Noé à trouver la voie de la guérison et à l'aider à se rétablir. C'est Isabelle qui m'a fait connaître l'existence de Thich Nhat Hanh.
Mi septembre 2011, ma belle-soeur Agnès m'annonçait qu'elle avait un cancer du sein.
C'est à cette période que nous avons commencé, toutes les deux, à rejoindre un groupe de méditation animé par un jeune couple bouddhiste, Dat et Carole. Nous partagions à cette occasion des lectures communes, dont des livres écrits par Thich Nhat Hanh :
« Le miracle de la pleine conscience »
« La sérénité de l'instant »
« Enseignements sur l'amour »
« La colère »
Ce sont ceux que j'ai lus, mais il y en a plein d'autres, sur la peur notamment, sur la méditation, etc.
L'année suivante, le 5 février 2012, j'obtenais mon deuxième degré reiki en même temps que mon amie Christiane. Elle découvrait à cette occasion elle aussi les écrits de Thich Nhat Hanh. J'ai beaucoup échangé avec elle sur les principes et la philosophie de vie de ce moine bouddhiste.
Thich Nhat Hanh est mort et une foule de souvenirs resurgissent...