samedi 28 mai 2016

Les mots que l'on a dits...

Les mots que l'on a dits (ou écrits) sont irreprenables. Ils ont parfois été pensés dans la colère ou le dépit, mais ils ont été dits. Ils sont dans la mémoire de l'autre, on ne peut pas les en retirer. On aura beau ensuite s'excuser, regretter, ils seront toujours là, car même si l'autre n'est pas rancunier, il n'effacera pas ainsi de sa mémoire les mots qui l'auront blessé. Et une relation, quelle qu'elle soit, amoureuse ou amicale, en souffrira amèrement. Alors soyons prudents dans le choix des mots que nous utilisons...

15 commentaires:

  1. une heureuse surprise...à savourer

    RépondreSupprimer
  2. Il y a des mots caresses...et aussi des mots meurtriers qu'il est difficile d'oublier...et éviter les mots qui peuvent blesser demande beaucoup d'attention...et il faut aussi garder un peu de spontanéité...Bonne journée françoise

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Oui, garder de la spontanéité sans blesser.
      Belle fin de dimanche, Gazou.

      Supprimer
  3. Le premier commentaire est une erreur, il était pour un autre article

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Gazou, je pense qu'il concernait le billet intitulé : "La marche, la nature, l'amitié" ?

      Supprimer
  4. Tu ne crois pas si bien dire, chère Francoise.
    Quelqu'un que j'aimais beaucoup m'a dit quelque chose de terrible et je n'arrive pas à l'oublier...
    ¸¸.•*¨*• ☆

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Les blessures laissent toujours des cicatrices, Célestine, et encore plus lorsqu'il s'agit de personnes qui nous sont (étaient) chères.
      Bonne soirée à toi, bisous.

      Supprimer
  5. Et oui, Françoise, on a tous dans le cœur
    l'impact de mots que l'on attendait pas !!

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Et oui, Théo, et le coeur en souffre.
      Bienvenue sur ce nouveau blog. :-)

      Supprimer
  6. Et dire qu'on ne pensait pas ce qu'on a dit est une parade bien maladroite, car ça ne serait pas sorti de nous si on ne le pensait pas. Maintenant, il y a des "couches" de pensées, et elles n'ont pas toutes la même épaisseur. On peut par exemple aimer quelqu'un mais ne pas supporter, absolument pas, la façon dont il mastique ou se mouche ou éternue ou dit allo au téléphone... Si un jour on devait hélas exploser et dire "tu ressembles à un chameau quand tu manges"... ça ferait bien mal et pourtant... ça ne serait qu'une des petites choses méchantes que l'on pense :)

    Bonne soirée!

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. J'adore ton humour, Edmée ! :-)
      Eh oui, il y a des petits trucs qui nous agacent chez l'autre, qu'on supporte un temps, et puis qu'on finit par dire, ne le supportant plus... mais on peut le dire gentiment... (sourire)
      Bonne soirée à toi.

      Supprimer
  7. Comme on dit il faut toujours tourner sa langue 7 fois dans sa bouche avant de parler, mais perso je préfère la spontanéité à la peur de vexer...
    Bonne journée

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Il faut tout de même manier les mots prudemment, Un ange qui passe, surtout lorsqu'on les écrit, car comme on le sait, les écrits restent tandis que les paroles s'envolent...
      Bonne soirée.

      Supprimer
  8. Coucou Françoise, oui les mots sont parfois violents, surtout pur celui qui les reçoivent. Mais les mots dits par écrits ou verbaux sont un peu différend.
    Ils restent quand même dans les mémoires. Ils servent aussi quelquefois à " réveiller" à faire réfléchir et ce sont les plus durs qui font réagir et deviennent parfois positifs... Les mots dits soit disant sans réfléchir ont toujours une part de vérité. Bonne journée. A plus.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Certains en effet font réagir et deviennent parfois positifs. Mais comme je le dis plus haut, il faut rester très prudent dans le choix des mots que l'on utilise, car certains peuvent détruire une vie.
      Bonne soirée, Marie. Bisous.

      Supprimer

Merci pour vos petits mots que j'apprécie infiniment.

PS : Si vous avez des difficultés à poster un commentaire ou si celui-ci n'apparaît pas, vous pouvez me l'adresser par mail (voir mon profil) et je le publierai en votre nom. Merci.